Le Ragnarök - le destin ultime des dieux, symbolise, dans la mythologie nordique, la fin du monde, appelée aussi «le crépuscule des dieux». L’oeuvre composée par Bert Appermont ne relate pas la saga dans son intégralité, cependant, la fin du monde et la régénération d’un monde nouveau sont les thèmes exposés dans cette oeuvre en deux parties. La musique suggère plutôt l’image d’un monde de sortilèges, où règne la folie et la violence, un monde dans le chaos. Mais toute la puissance de l’homme réside dans son grand désir de renaître de ses cendres. La partie choeur est facultative et peut être remplacée par un synthétiseur. Deux passages sont empruntés au Requiem, le Dies Irae dans la première et le Libera me dans la deuxième partie.