Un détachement de soldats indigènes s’approche et traverse le village, quand on entend doucement une chanson venant d’un bateau sur le Nil. Un passage bref dépeignant un Arabe jouant de sa flûte mène à la reprise de la chanson. Les soldats reviennent et quelques-uns d’entre eux chantent la chanson en harmonie. Quelques mesures de la mélodie mènent la pièce vers une conclusion tranquille.