Au milieu de l’hiver, les bûcherons de la région francophone du Canada souffraient de solitude. A cette période de l’année, ces forêts éloignées ne pouvaient être atteintes qu’en canoë par la rivière. Voilà pourquoi ils devaient partir de leur maison en automne et n’y retourner qu’après le dégel au printemps.